Un touriste britannique hospitalisé à Chypre perd son cœur et déclenche une enquête choquante
Lors d’un séjour en famille à Chypre, un Britannique de 76 ans, Michael Grealy, s’est blessé à la jambe lorsque sa jambe a été prise par une crampe et est décédé dix minutes après son transfert à l’hôpital de Paralimni. Sa veuve, 73 ans, Yvonne, originaire du Grand Manchester, a appris que l’autopsie avait été pratiquée, mais lorsque le corps est revenu au Royaume-Uni, la cause du décès n’apparaissait pas sur le certificat. L’affaire a été relancée par les autorités chypriotes qui ont déclaré que le cœur avait été envoyé au centre de recherche pour analyse.
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L’autopsie et le cœur retiré: ce que montrent les faits
Selon Cyprus Mail, lors de l’autopsie, certains organes vitaux du septuagénaire de 76 ans ont été envoyés au laboratoire pour des analyses toxicologiques et histologiques. Le cœur est souvent retiré lors de l’autopsie afin d’évaluer les signes de maladies cardiovasculaires. Cela permet au pathologiste d’examiner en détail ses chambres, ses valves et les principaux vaisseaux sanguins. Une cardiomégalie ou une hypertrophie peut indiquer des maladies associées, comme une hypertension artérielle ou d’autres états qui auraient pu contribuer au décès. « On nous a dit que le cœur de Michael avait été prélevé, donc la cause du décès ne pouvait pas être déterminée. J’étais sous le choc. C’est horrible ! » a déclaré Yvonne.
Cas similaire en 2024 et les demandes de réponses des proches
En 2024, une situation similaire est arrivée avec Kaidell Brown, une Britannique de 38 ans qui s’est rendue en Turquie pour une abdominoplastie, liposuccion et lifting des fesses. Elle est décédée dans la clinique, et lors d’un nouvel autopsie au Royaume-Uni, il a été établi qu’il manquait des parties importantes du cerveau, des poumons et du cœur. « Ils ont rendu le corps, mais il restait des parties de son cœur et de ses organes internes. Cela aurait pu aider à établir la cause du décès, mais nous ne le saurons pas, parce qu’ils ne veulent pas coopérer », a déclaré sa sœur Leanne. « Ils ont envoyé le certificat de décès, où aucune cause n’était indiquée. Comment ont-ils pu ne rien trouver ? » a ajouté la famille. La mère de deux enfants est décédée dans la clinique, et les premiers résultats indiquent l’absence de zones cérébrales et d’organes importants, ce qui a conduit à la fermeture des documents sans cause précisée.
L’enquête se poursuit et les familles réclament des réponses
Les investigations se poursuivent et les autorités chypriotes expliquent que des organes vitaux peuvent être envoyés au laboratoire pour des analyses toxicologiques et histologiques afin d’établir la cause du décès. « Nous sommes très en colère et voulons des réponses », a déclaré Hayley, la fille de 47 ans.
