Je ne suis pas un grand adepte de la thérapie — Dwayne Johnson révèle une bataille pour la dépression et un passé où sa mère a tenté de mettre fin à ses jours
Le Rock, 53 ans, parle ouvertement de sa lutte contre la dépression et de la pression des blockbusters hollywoodiens. Il avoue qu’il n’est pas un grand adepte de la thérapie, malgré des conversations utiles avec des thérapeutes. En préparant son biopic, il voit des points communs entre lui et Mark Kerr, le sujet de The Smashing Machine, un ancien lutteur et combattant MMA rongé par l’addiction et les overdoses. Kerr, 56 ans, est aujourd’hui en rétablissement et cherche à inspirer les autres à lutter contre leurs démons. En 2025, Johnson l’a intronisé au UFC Hall of Fame, mais le rôle a aussi rouvert chez lui des blessures anciennes.
La confession d’un homme: « Je ne suis pas du genre à faire de la thérapie » et l’habitude de tout garder en lui
Dans une interview au Guardian, Johnson affirme qu’il n’est pas du genre à recourir à la thérapie. « Je ne suis pas du genre à faire de la thérapie. J’ai eu de grandes conversations avec des thérapeutes, mais ce n’est pas ce vers quoi je me tourne. » Il admet qu’il enferme tout ce qu’il ressent à l’intérieur, comme beaucoup d’hommes, et reconnaît que ce n’est pas la manière la plus saine de gérer ses émotions. Pour lui, l’important est d’oser chercher une voie plus profonde et significative à travers son travail.
Du ring à l’écran: Kerr, Johnson et la libération par le processus — un héritage de douleur et de résilience
Johnson voit Kerr comme miroir: l’écran peut être une échappatoire à la pression d’une image publique, mais il faut aussi accepter le côté sombre. Le rôle dans The Smashing Machine a été libérateur pour lui; il préfère désormais se concentrer sur le processus plutôt que sur l’argent et il veut que le film parle de vérité et de guérison. Le tournage a apporté une liberté qui a dépassé le simple divertissement.