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Il a offert au monde l’iPhone — et il l’a interdit à ses propres enfants

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Il a offert au monde l’iPhone — et il l’a interdit à ses propres enfants. Oui, vous avez bien lu: une révolution numérique restreinte chez soi. En 2010, le journaliste du New York Times Nick Bilton a posé l’évidence: « Vos enfants adorent-ils l’iPad ? » La réponse a été glaçante: « Ils ne l’utilisent pas. Nous limitons la technologie à la maison. » Comment expliquer qu’un homme qui a déclenché la plus grande transformation de notre époque ait choisi de ne pas laisser les outils de cette révolution entrer dans son foyer? Cette énigme porte en elle une leçon: la technologie est un outil, pas une nounou, pas un ami, et certainement pas un parent.

Il a offert au monde l’iPhone — et il l’a interdit à ses propres enfants

La technologie comme outil, pas comme nounou.

Jobs n’était pas technophobe; il était technodroit et lucide. Il considérait la technologie comme un outil, pas comme une babysitter. À table, ses enfants discutaient de livres, d’idées et d’histoires plutôt que d’applications. Il imposait des règles simples: pas d’appareils avant le dîner, et surtout, pas de marathons YouTube jusqu’à ce que la batterie tombe.

La technologie comme outil, pas comme nounou.

Le coût humain: pourquoi l’écran peut blesser.

Des études montrent que l’excès de consommation de contenu peut générer de l’anxiété, diminuer la concentration et entraver le développement de l’empathie. Jobs sentait ces risques bien avant les neuropsychologues: il voyait comment les notifications et les mèmes pouvaient submerger un esprit. Il voulait que ses enfants apprennent le silence, la patience et la capacité à penser par eux-mêmes. Et vous, quand avez-vous passé votre dernier moment sans votre téléphone, au moins une demi-heure?

Le coût humain: pourquoi l’écran peut blesser.

Ce n’était pas une interdiction permanente; c’était un seuil.

Ce n’était pas une interdiction à vie, mais un décalage jusqu’à l’âge où le cerveau peut dire: « Ça suffit ! ». Il ne cherchait pas à isoler sa famille; il voulait protéger une enfance capable d’écouter, de s’ennuyer et de réfléchir. Aujourd’hui encore, de nombreux créateurs de technologies limitent l’accès chez eux — un signe que l’équilibre, pas le tout ou rien, peut être la meilleure route. Il n’y a pas de recette universelle; mais on peut emprunter son principe d’équilibre.

Ce n’était pas une interdiction permanente; c’était un seuil.

Leçons pour nous: équilibrer nos vies numériques.

Le monde qu’il a aidé à construire est à la fois fascinant et tentant. Il a anticipé l’emprise des écrans et a voulu que ses enfants puissent vivre sans eux, avant de les vivre avec eux. Peut-être était-ce son plus honnête et sage démarrage — une startup intérieure qui cherche à nous protéger, plus qu’un produit.

Leçons pour nous: équilibrer nos vies numériques.