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Éternelle jeunesse à tout prix: New-Yorkais en quête de facelifts et de Botox en Corée du Sud — 5 ans d’avance et des prix qui défient toute logique

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Le phénomène de la quête de la jeunesse attire des New-Yorkais vers la Corée du Sud pour subir des facelifts et du Botox, promis comme « cinq ans d’avance » et souvent bien moins chers qu’aux États‑Unis. Le mois dernier, Kim et Khloé Kardashian, accompagnées de La La Anthony, Stéphanie Suganami et l’experte en soins Vanessa Lee, ont organisé un voyage entre filles pour tester les traitements les plus en pointe du pays. Cette tendance n’est pas un coup de chance: célébrités et passionnés d’esthétique voyagent pour des procédures présentées comme plus avancées et plus abordables que chez eux.

Éternelle jeunesse à tout prix: New-Yorkais en quête de facelifts et de Botox en Corée du Sud — 5 ans d’avance et des prix qui défient toute logique

Destination beauté: la Corée du Sud comme prix défiant toute concurrence et technologies de pointe

Le groupe culturel de beauté estompe les frontières lorsque des témoignages indiquent que des procédures comme le Botox de mâchoire coûtent environ 100 dollars en Corée, contre environ 700 dollars aux États‑Unis. Le récit s’ancre aussi dans la voix de Y. Lee, une jeune New‑Yorkaise qui affirme que *le US et le reste du monde sont au moins cinq ans derrière*. Elle a détaillé 15 traitements non invasifs lors d’un seul voyage — injections dissociante de graisse du menton et des bras, boosters Juvelook, lasers, Botox et même un ajustement des yeux pour mieux porter ses lentilles colorées — ce qui lui a valu 1,7 million de vues sur TikTok. Après ce succès viral, elle a quitté son travail en décembre et a lancé BookDoctra.com, une plateforme qui évalue les médecins coréens et permet de réserver directement.

Destination beauté: la Corée du Sud comme prix défiant toute concurrence et technologies de pointe

L’influenceuse Y. Lee et la viralité du « glow‑up » coréen

Y. Lee est une jeune Américaine qui a grandi en partie en Corée et s’affaire désormais à raconter son ‘glow-up’ coréen sur TikTok, sous le compte @taxinoodle, accumulant des millions de vues. « Le US et le reste du monde sont au moins cinq ans derrière », affirme-t-elle. Elle décrit dans sa série son premier voyage où elle a tenté 15 traitements non invasifs, du dissolvant graisseux du menton et des bras aux boosters Juvelook, en passant par lasers, Botox et même l’ajustement des yeux pour des lentilles colorées. Elle a quitté son emploi dans le cadre d’un virage professionnel et a lancé BookDoctra.com pour guider d’autres voyageurs.

L’influenceuse Y. Lee et la viralité du « glow‑up » coréen

Témoignage d’Annette Bragas: un voyage solo et le coût élevé

Annette Bragas, maquilleuse d’origine allemande vivant à Murray Hill, est partie seule en juillet pour Séoul pour un lifting du visage, un lifting du cou et une thérapie par cellules souches avec le Dr Song Hyungmin. Le tout coûtait environ 35 000 dollars et incluait presque trois semaines à l’hôtel pour la guérison, des traitements de récupération comme l’oxygénothérapie hyperbare, un chauffeur et un sac de soins estimé à au moins 600 dollars. Elle affirme: « Ça ne ressemble pas à une chirurgie, je parais plus jeune ». Elle estime que la même opération coûterait au moins 50 000 dollars aux États‑Unis, sans compter l’hébergement et les soins post‑opératoires. Elle craignait d’être la seule patiente caucasienne, mais ce n’était pas le cas: l’équipe et d’autres patients parlaient plusieurs langues et de nombreuses personnes étaient également en convalescence. Elle décrit aussi Séoul comme une « ville de la chirurgie plastique », avec de nombreuses personnes bandées; et elle prévoit de revenir en janvier pour une autre injection de cellules souches.

Témoignage d’Annette Bragas: un voyage solo et le coût élevé

Avertissements et conseils professionnels: rester vigilant

Le Dr Roy Kim, chirurgien plasticien ayant des pratiques à San Francisco et à Beverly Hills, affirme qu’il est « en faveur » que les Américains voyagent en Corée pour des soins esthétiques, à condition de faire leurs devoirs. « La Corée a des standards très élevés de soins médicaux, de propreté et d’éthique », dit‑il, et il rappelle que le gouvernement est conscient des gains économiques liés à l’accueil de patients étrangers, appliquant les mêmes standards que pour les patients coréens. Il met en garde que les chirurgies invasives exigent une récupération de semaines avant le vol et que les pratiques diffèrent selon les cliniques: des coordinatrices ou ambassadeurs patient qui ne disposent que rarement de formation médicale se chargent souvent du contact et de la planification; des rendez‑vous le même jour et des examens préopératoires en une seule visite, avec une chirurgie programmée peu après. Il conseille aussi d’être conscient des barrières linguistiques et de la sensation parfois « d’usine » dans certaines cliniques. « Faites vos devoirs sur qui réalise votre intervention et que vous comprenez exactement les procédures », dit‑il, et ajoute que vous serez en sécurité à condition de bien s’informer. Bragas, quant à elle, affirme vouloir revenir en janvier pour une autre injection de cellules souches.

Avertissements et conseils professionnels: rester vigilant