Au fond du lac Ontario, un navire vieux de 200 ans parfaitement intact et mystérieux
Des plongeurs en mission de routine dans l'un des Grands Lacs ont découvert quelque chose d’inattendu: au fond du lac Ontario reposait une épave vieille d’environ 200 ans, encore totalement intacte. L’équipe, originaire du Canada, effectuait une plongée ordinaire lorsqu’elle est tombée sur cette découverte. Après des examens supplémentaires, on pense que le navire date du début du XIXe siècle, en raison du type de corde utilisé pour le gréement du navire.\n\nPlusieurs éléments de l’épave ont laissé l’équipe perplexe, notamment l’absence d’une dérive centrale et d’une roue sur le pont arrière. Une observation et une analyse plus poussées sont en cours pour éclairer cette énigme.\n\nLe site promet d’offrir un éclairage rare sur l’histoire de la construction navale des Grands Lacs — des détails que les spécialistes n’avaient jamais vus auparavant.\n\nLe plongeur principal, Heison Chak, a raconté la découverte et a ajouté que cela leur avait pris « quelques instants » pour se calmer sous l’eau.\n\nAprès que leurs battements de cœur se soient ralentis, ils ont remarqué que les deux mâts étaient encore debout — ce qui est extrêmement rare pour une structure aussi ancienne.\n\nSelon Heison, la plupart des mâts ont tendance à tomber avec le temps, ce qui rend cette découverte d’autant plus excitante.\n\nIl a déclaré au NY Post: « Ça a sa forme. Il n’a pas cassé ses deux mâts. Nous en avons vu deux — les deux mâts étaient debout, ce qui est assez rare. »\n\nPour ajouter à l’étrangeté, le plongeur de 20 ans affirme n’avoir jamais vu de « mât supérieur » sur aucune épave qu’il a plongée en Ontario ou dans le fleuve Saint-Laurent.\n\nUn mât supérieur est placé au-dessus du mât inférieur et soutient le gréement et les vergues pour une topsail.\n\nUne université locale avait signalé, en 2017, avoir repéré un « objet non identifié » lors d’une étude par fibre optique du Grand Lac et avaient tenté d’en savoir plus — pensant qu’il s’agissait de l’épave Rapid City, construite en 1884 et disparue en 1917.\n\nCe que le navire était exactement n’a pas encore été confirmé, mais d’autres relevés et des tests sont en cours.\n\nPour les dernières informations et histoires du monde, abonnez-vous à nos newsletters.
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Datation probable et indices: un navire du début du XIXe siècle
Selon l’archéologue James Conolly, ces caractéristiques « immédiatement » suggéraient que le gigantesque navire datait de la première moitié du XIXe siècle.\n\nApparemment, cette découverte offrira au chercheur un rare aperçu d’une ère de l’histoire de la construction navale des Grands Lacs — comme ils ne l’avaient jamais vue auparavant.\n\nLe plongeur-chef Heison Chak a raconté la découverte et a ajouté que cela leur avait pris « quelques instants » pour se calmer sous l’eau.\n\nAprès que leurs battements de cœur se soient ralentis, ils ont constaté que les deux mâts étaient encore debout — une chose extrêmement rare pour une épave aussi ancienne.\n\nSelon Heison, la plupart des mâts ont tendance à tomber avec le temps, ce qui rend cette découverte d’autant plus excitante.\n\nIl a déclaré au NY Post : « Ça a sa forme. Il n’a pas cassé ses deux mâts. Nous en avons vu deux — les deux mâts étaient debout, ce qui est assez rare. »\n\nSelon lui, c’était la première épave où il voyait un mât supérieur.
Des détails qui déstabilisent les spécialistes et l’étrange topmast
Après qu’ils eurent ralenti leur rythme cardiaque, les plongeurs ont remarqué que les deux mâts étaient encore debout — ce qui est extrêmement rare pour une épave aussi ancienne. Selon Heison Chak, le plongeur-chef, c’est « une chose extrêmement rare ». « Ça a sa forme. Il n’a pas cassé ses deux mâts. Nous en avons vu deux — les deux mâts étaient debout, ce qui est assez rare », a-t-il ajouté dans une interview au NY Post. Le plongeur de vingt ans a aussi déclaré : « Je n’ai jamais vu de mât supérieur sur aucune épave que j’ai plongée en Ontario ou dans le fleuve Saint-Laurent. »\n\nUn mât supérieur est placé au-dessus du mât inférieur et soutient le gréement et les vergues pour une topsail.\n\nUne université locale avait indiqué avoir repéré, en 2017, un « objet non identifié » lors d’une étude par fibre optique sur les Grands Lacs. Ils ont tenté d’en savoir plus — pensant qu’il s’agissait de l’épave Rapid City, construite en 1884 et disparue en 1917.
Indices initiaux et hypothèses sur l’épave et ses origines
Une université locale avait signalé, en 2017, avoir repéré un « objet non identifié » lors d’une étude par fibre optique du Grand Lac. Ils ont tenté d’en savoir plus — pensant qu’il s’agissait de l’épave Rapid City, construite en 1884 et disparue en 1917.\n\nCe que le navire était exactement n’a pas encore été confirmé, mais d’autres relevés et des tests sont en cours.\n\nPour les dernières informations et histoires du monde, abonnez-vous à nos newsletters.
À venir: relevés et tests pour confirmer l’épave et comprendre son histoire
Ce qu’il faut retenir pour l’instant, c’est que l’épave a été repérée il y a peu et que, même si elle semble dater du XIXe siècle, sa nature exacte reste à confirmer. Des relevés et des tests plus approfondis sont en cours pour établir l’identité et l’histoire de ce navire oublié des Grands Lacs.\n\nPour les dernières informations et histoires, abonnez-vous à nos newsletters du Daily Star.